sept 25

Le FN s’est-il vraiment « battu » pour les libertés sur Internet ?

« Entre la promesse de Marine Le Pen de se battre pour la défense des libertés sur Internet, et les actes à l’Assemblée Nationale, un gouffre s’est creusé. » :

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sept 25

Référendum révocatoire dans le cadre d’élections législatives proportionnelles

Principe :

  • Combiner des députés élus à la proportionnelle et la possibilité de leur révocation.

  • La révocation se ferait sur pétition populaire à partir d’un seuil d’inscrits à déterminer. L’élu concerné verrait son mandat remis aux suffrages, et doit obtenir plus de la moitié du nombre d’inscrits obtenus pour son élection primaire.

  • Il s’agit en réalité d’un vote de maintien, visant à vérifier que l’élu conserve un électorat mobilisé(et donc de l’obliger à faire de la politique sous pression).

    • Ex: élu sur une liste ayant récolté les suffrages de 10 % des inscrits, le député doit en obtenir au minimum 5 % pour son maintien.

  • Pour des raisons pratiques électorales, le scrutin proportionnel départemental semble le plus judicieux.

Exemple à partir d’un cas :

Département de Seine Saint-Denis, proportionnelle à la méthode d’Hondt, mettons que 15 sièges sont à attribuer en 1er tour. Les petits résultats ne seront pas considérés. La participation est de 50 % (arrondi).

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sept 25

Démocratie d’entreprise : éléments de réflexion

« Aussi longtemps qu’une entreprise autoritaire réalise des bénéfices normaux ou raisonnables, ceux qui en ont les rênes préféreront maintenir l’ordre établi plutôt que de mettre en place une organisation plus efficace mais démocratique. L’objectif de préserver les différences existantes de pouvoir, de statut et de revenus est de loin plus important que l’efficacité globale de l’entreprise » (Karlsson).

Introduction :

  • Le terme de « démocratie d’entreprise » est identique à « autogestion », « contrôle ouvrier »… mais charrie moins de pré-notions éventuellement négative. En outre, il est plus clair pour des personnes sans bagage politique.

  • Il s’agit de s’affranchir A) du « management participatif » (conduire le salarié à mieux travailler pour l’entreprise), B) de la « concertation » (les CE français, qui peuvent orienter les décisions entrepreneuriales mais n’ont de pouvoir positif d’aucune sorte) ou C) des failles des coopératives de production (aspect plébiscitaire de l’élection interne, opacité, caractère contraignant et in fine résiduel dans un océan capitaliste…).

  • Cette note tend à affirmer que la démocratie en entreprise est un facteur de progrès social, d’efficacité économique, et une exigence démocratique. Ce qui ne dispense pas de la nécessité de travailler le concept.

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sept 25

L’Internationale des constituants

Il y aura en Espagne et probablement en Europe un avant et un après Podemos, ce parti qui n’existe pourtant que depuis 6 mois et s’apprête à peine à célébrer son congrès fondateur.

Ce mouvement, formé par une équipe d’universitaires madrilènes proches de Pablo Iglesias, s’inscrit durablement dans la vie politique espagnole, après avoir créé la surprise lors des « élections européennes le 25 mai 2014.

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sept 24

Pourquoi changer de république ?

L’idéal républicain est bafoué par la Ve république. Il a été trahi dès sa naissance. La Ve république est née par le fait d’un coup d’état, et il n’y a pas eu d’assemblée constituante élue, ce qui était la première fois dans l’histoire des républiques. Le peuple a juste été appelé à se prononcer par référendum, dans un contexte tendu qui ne pouvait que fausser les résultats.

Les vices originaux de la Ve ont été renforcés : en 1962 quand il fut décidé d’élire le président au Suffrage universel (lui conférant une légitimité qui se veut équivalente à celle de l’Assemblée); en 2000 quand la durée du mandat présidentiel a été ramené à 5 ans et que les élections législatives ont été reléguées après les présidentielles.
Notre république est une monarchie déguisée.

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sept 21

Nicolas Sarkozy croit-il que les Français sont amnésiques ?

France 2 a imposé aux Français un grand exercice de narcissisme cathodique autour de Nicolas Sarkozy, qui a annoncé la couleur en disant qu’il fera « la même chose », mais cette fois sur un autre ton.

Faisant le pari de l’amnésie générale des Français, Sarkozy a affirmé sans vergogne qu’il n’avait « pas menti », tout en évoquant les grandes mobilisations de 2010 qui lui reprochaient – justement – d’avoir menti pendant sa campagne sur le maintien de la retraite à 60 ans.

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sept 21

Qui rappellera à Nicolas Sarkozy ses obligations de membre de droit du Conseil constitutionnel ?

Le 4 juillet 2013, après le rejet de ses comptes de campagne par le Conseil constitutionnel, Nicolas Sarkozy annonçait avec fracas sa « démission » de cette institution.

Le problème, c’est que la constitution de la 5ème République , parmi ses multiples incongruités monarchiques, a fait des anciens présidents de la République des membres de droit à vie du Conseil constitutionnel. Une démission n’est donc pas juridiquement prévue. Certes, Nicolas Sarkozy a décidé de ne plus y siéger, mais il peut à tout moment revenir sur sa décision. Tout comme il vient de revenir sur sa parole de se retirer de la vie politique en cas de défaite en 2012. Un autre problème juridique se pose puisque l’article 2 du décret du 13 novembre 1959 relatif aux obligations du Conseil constitutionnel interdit à ses membres « d’occuper au sein d’un parti ou groupement politique tout poste de responsabilité ou de direction ».

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sept 18

Terreur sur les libertés fondamentales !

À force d’agir sous le coup de le sidération sécuritaire, on prend en otage la délibération collective. À force de légiférer sous le coup de l’émotion médiatique, on percute l’équilibre des droits fondamentaux et des libertés publiques. Ainsi du projet de loi terroriste adopté hier en procédure d’urgence par l’Assemblée nationale, lequel risque d’instaurer en France un état d’exception permanent, hors cadre légal, sous prétexte de lutte contre le terrorisme.

Le texte propose que l’autorité administrative (et non un juge judiciaire, pourtant seul « gardien des libertés individuelles » selon la Constitution) puisse « interdire le départ de France d’un ressortissant français lorsqu’il existe des raisons sérieuses de croire qu’il projette des déplacements à l’étranger ayant pour objet la participation à des activités terroristes {…} susceptibles de le conduire à porter atteinte à la sécurité publiques lors de son retour sur le territoire français » (art.1).

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août 25

Le Peuple doit être appelé aux urnes

Après la démission de son premier ministre, François Hollande vient d’annoncer un gouvernement Valls 2 pour demain.

La pression aura ainsi été trop forte pour le Président de la République : non seulement sa politique ne fonctionne pas mais en réalité elle ne dispose plus de majorité.
Dès lors la volonté de poursuivre et d’intensifier la même politique avec Manuel Valls est invraisemblable et au final illégitime.
En procédant ainsi le Président de la République entraîne le pays dans une voie suicidaire socialement mais aussi démocratiquement.

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juil 02

Mettons aussi en examen la 5ème République !

La mise en examen de Nicolas Sarkozy est un fait extrêmement grave. Nous dénonçons tous ceux qui, à droite, jettent le doute sur la justice en parlant d’acharnement à l’encontre de l’ancien Président de la République. C’est un paravent indécent, malsain et imprudent pour essayer de faire pression sur la justice et inverser les rôles : la victime n’est pas Nicolas Sarkozy !

Mais au delà du cas de Sarkozy, c’est la 5ème République qu’il faut mettre en examen.

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